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Tasse Camélia de Bactriane, couvercle et filtre intégré
Au-delà du fleuve Indus, où les vents murmurent les récits oubliés, le Camélia, se nomme Cha et s’élève avec une grâce infinie. Appelé « l’arbre du printemps », il incarne la longévité, l’amour éternel et le bonheur, des vertus que l’âme aspire à saisir. On raconte qu’il trouva refuge dans les jardins enchanteurs de l’Empire Moghol, peut-être près des bassins miroitants du Taj Mahal, ce monument au cœur transi.
Zafar, poète et dernier empereur Moghol, dans ses vers empreints de mélancolie, chante la douceur de Cha. Pour lui, il rafraîchit l’œil alourdi par les tourments et apaise le palais desséché par les chaleurs impitoyables du désert du Thar. Il le dépeint comme un baume, un contrepoint délicat à l’âpreté des déserts brûlants.
Au fil des âges, le Camélia a tissé un lien entre nature et poésie, se mêlant aux fastes des cours impériales et aux rêves des cœurs en exil.